17 commentaires sur « 2. Première heure. Ça cogite sec. »

  1. Bonjour,
    j’adooooreee votre série!!!! surtout cet épisode qui résume à la perfection ce que j’ai ressenti. toutes ces phases psychédéliques je les ai connues et je n’avais pas de poisson rouge pour me raisonner 😉
    en tout cas, un grand merci pour tout votre travail. Vous êtes arrivée à faire rire sur un sujet ô combien délicat. MERCI

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  2. tu as le droit a l avortement bien entendu et heureusement pour toi mais techniquement dans le detail c est quand même un meurtre (et voui…) c est pas mal de culpabiliser ça prouve que t es pas une psychopath ou totalement irresponsable. une ivg c est grave. et il y a plein de choses grave dans la vie. se mettre la tete dans le sable en niant la gravité de la situation, en transformant un bébé en « amas de cellule » de changera rien a ce qui a ete fait. tu existe et par ton existence tu as affecté négativement et/ou positivement la vie de beaucoup de gens. quand tu termine une vie en devenir tu efface l impact qui l aurait eu toute au long de sa vie sur les personnes qui l entoure (peut etre la vie de beaucoup de gens dependez de son existence mais tu as empêché ça alors c est un chti peu grave quand même et oui ça a des conséquences sur d autres personnes que sur toi au final)

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      1. alors NON, ce n’est pas faire du négationnisme !!
        rapelle de la définition, :
        source wikipedia : Le terme « négationnisme » est un néologisme créé en 1987 par l’historien Henry Rousso pour désigner le fait de contester la réalité du génocide mis en œuvre contre les Juifs par l’Allemagne nazie pendant la Seconde Guerre mondiale, c’est-à-dire la négation de la Shoah. Le négationnisme consiste ainsi à prétendre, soit qu’il n’y a pas eu d’intention d’exterminer les Juifs, soit que les moyens de réaliser cette extermination, notamment les chambres à gaz homicides, n’ont pas existé.
        source Larousse : Doctrine niant la réalité du génocide des Juifs par les nazis, notamment l’existence des chambres à gaz.
        je sais que la rhétorique des anti-choix est celle qui concerne le régime nazi (génocide, eugénisme, etc.) pour faire peur, pour culpabiliser les femmes et la société, mais il serait bon d’utiliser les termes a bonne escient, car vous le dévoyez en l’appliquant a tout et n’importe quoi, et vous insultez la mémoire des victimes du régime nazi.

        ceci étant dis, vous pouvez être contre l’IVG, personne ne vous en empêche, seulement la encore je dois vous contredire, l’IVG n’est pas un meurtre, il n’est pas punit par la loi…
        VOUS affirmez de manière tout a fait arbitraire que l’embryonfoetus de moins de 22 semaines est un être humain, je vous invite à lire cet article philosophique sur l’être humain justement : http://philo.pourtous.free.fr/Articles/Marc/l'etre_humain.htm
        vous pouvez ne pas être d’accord, votre opinion reste arbitraire et en ça vous n’avez pas a l’imposer aux autres.
        L’IVG impacte les femmes a cause des jugements et culpabilisation de cette sorte.
        PERSONNE chez les pro-choix N’IMPOSE l’IVG.
        il serait de bon ton que vous ne nous IMPOSIEZ pas votre avis et surtout ne nous IMPOSIEZ pas les grossesses non désirées.

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    1. J’ai avorté, je n’ai pas culpabilisé je suis donc une psychopathe avide de tuer des bébés ?
      Oui l’IVG n’est pas un acte anodins mais on n’as pas besoins de faire culpabiliser la personne. C’est déjà un acte difficile, si en plus elle/il doit subir ça…. Je me demande qu’est qu’il aurait été devenu si j’avais continué la grossesse mais je me demande aussi qu’est ce que JE serais devenue si j’avais continué car si je n’ai pas accès à l’IVG. Je serais quoi ? Morte en tentant une IVG illégale ? En dépression ? Je l’aurais sans doute mis dans un orphelinat car oui pour moi être mère est inconcevable. (Alors que j’ai grandis avec une mère nourrice depuis mes 6 ans, donc je sais ce que c’est un bébé)
      Et ne pense pas que la vie d’un être sensible ne compte pas pour moi car je suis végétalienne, peut-être qu’il n’y a aucun rapport pour toi. Mais il m’est impossible de tuer une araignée alors meurtrière d’un sois disant bébé on repassera…

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    2. Ce n’est pas un bébé, et ce n’est pas un meurtre.
      On ne peut pas tuer quelque chose qui n’a jamais été conscient, de plus à la limite de l’IVG en France c’est un foetus qui ne sent pas la douleur et qui n’est pas conscient donc oui c’est un amas de cellule.

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    3. Sarah, je suis atterrée par la teneur de votre commentaire qui ressemble à un pseudo-argumentaire de pro-vie qui aiment à manipuler des discours mystico-philosophico-religieux, saupoudrés de soit-disant arguments scientifiques qui n’en sont pas, afin de bien faire culpabiliser et faire peur aux femmes. C’est une attitude que je trouve lamentable.

      Comment pouvez-vous extrapoler ainsi sur l’hypothétique vie et conséquences de cet embryon (car on parle d’abord d’embryon, ensuite de foetus et enfin de bébé) ? Votre raisonnement est totalement délirant à ce propos.

      Je suis actuellement en train de faire les démarches pour avorter et je ne me considère pas comme une psychopathe. La culpabilité que j’éprouve, c’est celle que me renvoie la société, ou la famille, la maternité, la parentalité et l’enfant sont sacralisés et ramène les personnes qui ne vont pas dans ce sens à des extra-terrestres.
      Je ne me considère pas comme une criminelle. Je ne peux pas assumer cette grossesse, je ne peux pas assumer cet enfant et j’estime faire ce qui est le mieux pour moi (et pour lui). Au moins je ne mettrais pas au monde un bébé que je mettrai ensuite dans un congélateur.
      Ce qui est criminel, c’est d’aller à l’encontre de ses convictions, de ses certitudes, de ses envies et besoins pour « plaire » et se conformer au diktats de la société.
      Ce qui est criminel, c’est de distiller des discours obscurantistes et propagandistes et de faire du prosélytisme en voulant imposer aux autres des choix qui leurs sont propres et ne regardent qu’eux.

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  3. Ne pas vouloir le garder car on n’a « pas encore resolu la question de son utilité sur la planete », c’est precisement refuser la réponse à cette question, pour moi. 🙂
    Un papa.

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    1. Je réponds rarement, mais la permettez-moi de vous dire que votre vision de l’utilité de la femme est une peu réductrice. J’aimerais que vous vous posez simplement et sincèrement cette question: vous considérez vous comme un simple donneur de spermatozoïdes dont l’unique utilité sur terre serait de vous accoupler avec une femme pour vous reproduire ? N’avez vous pas d’autres envies en tant qu’homme ? Envies pas forcément contradictoires avec les enfants, mais qui concernent d’autres choses ? L’art, la carrière professionnelle, les voyages, ou simplement les amours… Eh bien c’est la même chose pour les femmes. Personnellement et pardonnez moi la formule, je ne suis pas sur terre pour créer uniquement par en bas. Et ce n’est pas refuser la question, c’est simplement y mettre un millier de nuances que visiblement vous n’aviez pas envisagées. J’espère que ces mots ouvriront votre vision du sujet. Une femme.

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      1. Bonjour,
        J’entends bien ce que vous me dites.
        J’ai moi-même une carrière professionnelle correcte, j’aime mon épouse, j’aime Bach, l’alpinisme, mes amis, j’ai même contribué (modestement) à des découvertes remarquées en mathématiques. Mais, au bout du compte, si je ne devais garder qu’une seule chose de tout ce que j’a pu réaliser, découvrir ou aimer sur cette terre ce seraient mes deux enfants de 14 et 12 ans. C’est d’ailleurs tout ce que nous laisserons de notre passage sur Terre : l’amour et le souvenir de nos enfants et de leurs enfants, notre propre chair. :-).
        Mais il est vrai que cette prise de conscience est souvent tardive. Elle l’a été pour moi aussi.

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      2. J’entends également parfaitement ce que vous dîtes mais il faut respecter le fait que chacun a son propre rythme, ses propres envies. Ce qui pour vous est fondamental (donc les enfants), ne l’est pas forcément pour Gertrude, Philippe ou Michelle. Et il est dangereux je trouve de scander que le sens de la vie sur terre pour soi, donc pour tous, c’est : les enfants. Que vous ayiez eu cette prise de conscience ne veut pas dire que tout le monde doit l’avoir. Mon propos n’est pas de dire que l’avortement c’est la vie, et que faire des enfants c’est nul. Vos commentaires me laissent penser que vous êtes quelqu’un de plutôt réfléchi, vous saisissez donc la nuance quand je dis qu’il faut juste tolérer et respecter les choix de chacun, même si on ne les comprend pas.
        En ce qui me concerne, créer, dessiner, est pour moi aussi important que respirer. J’espère avoir des enfants un jour, et cela sera aussi important que mes besoins artistiques. Mais hors de question d’en faire tant que je n’en ai pas l’envie, ni avec la bonne personne.
        Belle journée à vous.

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  4. j’ajouterais, en toute amitié, que vous ne vous rendez pas compte de ce que vos propos ont de blessant pour des personnes qui ne souhaitent pas d’enfant. je ne veux pas d’enfant je n’en ai jamais voulu (et j’ai 42 ans, ceci pour eviter l’éternel : « t’es jeune tu peux pas savoir »). Non ce n’est pas une prise de conscience universelle, car tous les jours je me félicite de n’avoir jamais cédé à la pression sociale omniprésente que subit une femme à partir de 25 ans, d’avoir absolument des enfants, pour s’épanouir pleinement et « réussir » sa vie de femme.
    je suis heureuse, et pleinement épanouie, et non la présence d’enfant ne me manque absolument pas, c’est même un grand bonheur de ne pas en avoir, et pourtant je ne les déteste pas, j’aime mes neveux et nièces, d’autant plus que ce ne sont pas les miens.

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